jueves, 29 de junio de 2017

Sobre lo bueno y lo verdadero

Aquellos que quieran mejorar este mundo decadente y corrupto tendrán que comprender que plutocracia y bolchevismo no son los dos únicos caminos transitables para redimir a la humanidad de la miseria y el fracaso. Porque hay un tercer camino que es el nuestro, que es el único y el mejor. Vendrán hombres que aún sin mencionarnos, porque les estará prohibido o porque temerán hacerlo, intentarán transitar por este camino nuestro. Y serán combatidos y traicionados al igual que nosotros lo fuimos. Pero al final venceremos porque lo bueno y lo verdadero siempre triunfa en este mundo.

-  Joseph Goebbels -


miércoles, 28 de junio de 2017

Saluons le Bastion social de Lyon!

Depuis le début des années 1970, le GUD (Groupe Union Défense) joue au grain de sable dans le merveilleux monde des Bisounours. Malgré des différences bien compréhensibles, toutes les générations gudardes se sont révélées par des initiatives médiatiques retentissantes dont la plus récente s’appelle le Bastion social.

Le samedi 27 mai 2017, au 18, rue du Port-du-Temple, dans le IIe arrondissement de la Capitale des Gaules, sa section lyonnaise animée depuis plusieurs années par Steven Bissuel, par ailleurs président national du GUD, a mis en pratique une occupation non-conforme, soit la réquisition d’un immeuble désaffecté appartenant à la municipalité. Après l’avoir sommairement aménagé, le Bastion social va accueillir en priorité des sans-abris d’origine française. En effet, pendant que des travailleurs précaires dorment dans leur véhicule, des familles françaises endettées sont expulsées sans ménagement de leur foyer, et des clochards abandonnés dans la rue par des autorités peu charitables, les mêmes autorités offrent aux clandestins sans-papiers de bonnes conditions d’accueil. Écœurés et scandalisés par ce traitement franchement discriminatoire à l’encontre des nôtres au profit des autres, l’ami Steven Bissuel et son équipe entendent y remédier un petit peu.

Le GUD lyonnais s’inspire très clairement des actions qui rendirent célèbre le mouvement CasaPound. Il s’agissait de donner un toit aux Italiens de racines albo-boréennes qui en étaient dépourvus. L’exemple italien fut ensuite appliqué en Espagne, gravement touchée par la crise financière, avec les militants du Hogar Social (HS) de Madrid. Ce n’est pas un hasard si, le 16 novembre 2015, s’exprimaient au Congrès européen du GUD à Rungis des représentants grecs d’Aube dorée, chypriote de l’ELAM (Front populaire national), de CasaPound et du HS. Certes, les modalités pratiques varient suivant le droit italien, espagnol, grec ou français. Cela n’empêche pas d’oser d’astucieuses entreprises sociales à l’esprit réellement solidariste.

L’apparition du Bastion social a suscité l’indignation habituelle des bien-pensants, plumitifs stipendiés de la presse quotidienne régionale aux ordres des potentats locaux, politiciens trouillards et minables antifas. Ces derniers n’acceptent pas l’idée même d’un squat nationaliste-révolutionnaire au service exclusif des seuls Français d’origine boréenne. La connivence, voire la complicité, entre les flics et les gauchistes s’est déjà manifesté à diverses reprises. Violant sciemment la loi, les forces du « désordre ripouxblicain » ont coupé dans la journée de mercredi 31 mai l’alimentation électrique du bâtiment tandis que la mairie de Lyon déposait une plainte. Vendredi 2 juin, une centaine d’antifas crasseux et de philâtres pro-migrants protestaient, place des Jacobins, à quelques centaines de mètres du Bastion social. Tenant des banderoles genre « Bienvenue aux réfugiés (en anglais) », ce ramassis improbable de mal-lavés cannabisés, d’enseignants retraités, d’intermittents du spectacle et de cultureux cosmopolites verse lui-même dans une inacceptable stigmatisation en beuglant des slogans ineptes tels « Pas de fachos dans nos quartiers. Pas de quartiers pour les fachos » ou « Les seuls étrangers dans nos quartiers, ce sont les racistes ! ». Le « Vivre ensemble » pour tous, oui, sauf pour les « horribles » fafs ?… Discutera-t-on bientôt de leur appartenance à l’humanité ?

Combien de temps résistera le Bastion social ? Les ripostes à venir rendent toute réponse bien pessimiste. Incapables de maintenir le moindre ordre public dans les banlieues de l’immigration gangrenées par les trafics de drogue, plus que timorés quand il faut déloger les délinquants qui occupent illégalement le domicile d’un particulier, et inactifs face au racisme anti-blanc assumé ducollectif Mwasi (prononcez « Moisi »), organisateur du fameux festival parisien Nyansapo (interdit aux femmes blanches et aux hommes !) des 28 – 30 juillet prochains, État, police, municipalité et justice risquent pour la circonstance de se dépêcher afin d’éviter au plus vite une possible contagion d’occupations non-conformes non seulement à Lyon et dans son aire urbaine, mais aussi en Auvergne – Rhône-Alpes et dans toute l’Hexagone. La non-mixité ethnique du lieu semble ici vraiment poser problème. Vérité à Paris, erreur à Lyon ? Si c’est le cas, que Steven et ses « Rats noirs » se griment au cirage noir et fassent leurs relèves en mini-jupe ! Ou bien qu’ils demandent le patronage des « Afro-descendantes » de ce collectif qui paraît bénéficier d’une réelle immunité !

Pour l’instant, le Bastion social a besoin de votre aide matérielle ou financière. De bonnes volontés bénévoles sont les bienvenues pour des travaux d’aménagement domestique, et des dons de matériel ou de meubles. En pleine campagne des élections législatives fade et nulle sur le plan médiatique, le GUD lyonnais a dès à présent réussi un magnifique coup de maître en plein cœur de la Macronie (le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, est le futur ancien maire de Lyon et président de la Métropole). Mieux que la course stérile aux suffrages, cette action directe pacifique démontre toute la pertinence d’allier exemple européen, cause nationale et enjeu social. Bravo donc aux militants du Baston social !

Par Georges Feltin-Tracol

Source Europe maxima:
http://www.europemaxima.com/saluons-le-bastion-social-de-lyon-par-georges-feltin-tracol/

martes, 27 de junio de 2017

Gesta Bellica - Come il Vento


Anni di torpore, anni di appiattimento
Una generazione senza sentimento
Non ci sono slanci, non c'è più tensione
Per il combattimento non c'è più una ragione

Il cancro consumista le menti ha devastato
Giovani senza ossa il solo risultato
Giovani perduti, quanti anni buttati
Signori del sistema non ci avete piegati!

La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!

Riaffiorano i ricordi degli anni di passione
Ritorna il vecchio sogno per la rivoluzione
Racconti senza fine di gente che ha pagato
Non puoi mollare adesso la lotta a questo stato!

La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!

Scontri nelle piazze con spranghe nella mano
I rivoluzionari non son caduti invano
Fuoco della rivolta sta bruciando ancora
Dell'insurrezione risorgerà l'aurora!

La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!

Tirannide borghese ancora poco tempo
La rivoluzione scoppia in un momento
Tirannide borghese ancora poco tempo
La rivoluzione scoppia in un momento!

La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!
La rivoluzione è come il vento!

lunes, 26 de junio de 2017

El despilfarro de las Administraciones Públicas


La lucha contra la corrupción, y por ende el despilfarro, es la segunda preocupación de los españoles según el barómetro del CIS. Ciudadano Cake entrevista a especialistas que nos explican cómo ha sido posible durante años expoliar y dilapidar a manos llenas el dinero publico de todos los ciudadanos.

Un caso que ha adquirido categoría de sangrante con los últimos descubrimientos de los gastos de las tarjetas opacas de los consejeros de Caja Madrid y Bankia.

Ciudadano Cake recorre la comunidad visitando algunos pueblos madrileños donde el despilfarro ha adquirido categoría de monumental.

Acudimos a Navalcarnero, donde entre incontables rotondas, monolitos y esculturas de dudoso gusto artístico pagadas a precio de oro entrevistamos al alcalde para que nos cuente cómo es posible que el ayuntamiento ingresara 400 millones de euros por la venta de terrenos municipales y actualmente tenga que soportar un déficit de más de 200 millones… ¿Cómo se puede dilapidar más de 600 millones en una localidad de tan solo 25.000 habitantes?

Y mientras el alcalde justifica todo el gasto los vecinos se quejan de que les faltan autobuses y transportes públicos para acceder al hospital y servicios sanitarios del pueblo.

Visitamos Parla, al sur de la comunidad, una ciudad de 125.000 habitantes con un flamante tranvía que ha costado más 360 millones de euros y que ha dejado una deuda de casi 3000 euros por habitante. Uno de cada tres euros de los presupuestos va destinado a pagar el tranvía ¿Necesitaba Parla, un tranvía? ¿Lo necesitaba pagando 300 millones más de sobrecoste? ¿Qué tiene que decir el PSOE?

Necesitaba Alcorcón demoler una biblioteca, arrasar un parque y talar cientos de árboles para empezar una obra de 120 millones para construir una Ciudad de las Artes y un circo que no se ha podido finalizar y todavía está a medias por falta de financiación.

Acudimos a San Fernando de Henares donde hace 6 años Izquierda Unida y su alcalde Julio Setien expropiaron sus casas y negocios a más de 200 familias para reformar la plaza del ayuntamiento a condición de devolverles una casa reformada y reubicarles gratis mientras duraba la reforma. ¿Quién podía negarse si estaba la palabra del alcalde detrás y los documentos se firmaban en el mismo Ayuntamiento? Hoy 6 años después no tienen casa no les pagan el alquiler de su reubicación y está a punto de ser desahuciados.

Estas son sus historias.

domingo, 25 de junio de 2017

¿Todavía hay miedo en el País Vasco?


Ciudadano Cake, presentado por el periodista Cake Minuesa, es un espacio plural en el que, no solo tendrán voz los políticos o representantes públicos, sino que bajará a pie de calle para escuchar a todo el mundo, conocer los diferentes puntos de vista y ofrecer una visión completa de los temas que se aborden

Cake Minuesa trata el tema: ¿Todavía hay miedo en el País Vasco?

Cake recorre pueblos y ciudades vascos y navarros, para comprobar cómo es la vida de quiénes tienen que convivir a diario con las caras del terrorismo. Cake Minuesa ha viajado a Mondragón para buscar al excarcelado Bolinaga, y a Elorrio para comprobar cómo vive tranquilamente otro etarra que ha salido de prisión, Kubati. 

CIUDADANO CAKE ha acompañado también a concejales del PP y del PSE de diferentes poblaciones vascas y de Navarra en su día a día, y ha sido testigo de cómo los ediles Óscar Álvarez o Juan Antonio Extremera, todavía hoy, han de ir protegidos por guardaespaldas. O se habla, por ejemplo, de cuestiones como la dificultad que conlleva ser seguidor del Real Madrid, el Atleti o la Selección española en determinados ambientes.

El programa muestra, además, las imágenes en las que se percibe la hostilidad hacia los que han sido víctimas de la violencia, tal y como se produjo cuando la caravana de la Asociación de Víctimas del Terrorismo visitó cinco localidades del País Vasco para homenajear a sus familiares muertos o heridos por atentados de ETA.

Carlos García, Borja Sémper, Iñaki Anasagasti, Maite Pagazaurtundua o Ángeles Pedraza, junto a otras personas anónimas, completan este impactante puzzle sobre la realidad del País Vasco

viernes, 23 de junio de 2017

Will The Power - Ad Hominem



A new race for a new world
Is the reason I fight for
A spectral existence for despotic souls
A life free from carnal corruption
- No more futile beings -
They'll suffer my determination
The essence of extermination

This is my will to power

They may believe in compassion
I don't even know this feeling
I'll reward their weakness with pain
Ignorance and cowardice
Will be the victims of my anger
I'll never forget those who betrayed me
My blood, my race

This is my will to power

Will to power - Possess me
Will to power - Transcend me

jueves, 22 de junio de 2017

Recopilación continuaciones del Quijote - Andrés Trapiello



"Al morir Don Quijote" y "El final de Sancho Panza y otras suertes". Recopilación en un solo tomo de las dos novelas que forman la ambiciosa y quijotesca gesta que Andrés Trapiello se propuso hace más de una década: darle una continuación al "Quijote"

miércoles, 21 de junio de 2017

martes, 20 de junio de 2017

Viaje a Cataluña


Ciudadano Cake viaja a Cataluña para comprobar qué está pasando allí con el proceso independentista, en un programa que recoge el abanico completo de opiniones resultantes de las diferentes posturas. 

domingo, 18 de junio de 2017

Objetivo Al -Andalus


¿Las amenazas a 'Al-Andalus' en castellano por parte del 'Estado islámico' son ciertas? ¿Existe terrorismo yihadista en nuestro país? ¿Dónde está el 'caladero' de yihadistas radicales? ¿Estamos preparados para luchar contra ellos?

'Ciudadano Cake' trata de dar respuesta a esta y otras preguntas en el reportaje "Objetivo Al -Andalus".

viernes, 16 de junio de 2017

Bastion Social - G.U.D. desde Francia

Con unas posiciones muy parecidas a Casa Pound o al Hogar Social, Bastion Social está llevando a cabo un fuerte activismo desde Francia. Si quieres conocer esta iniciativa, puedes visitar sus diferentes páginas:

https://bastionsocial.fr/

https://www.facebook.com/BastionSocialLyon/

https://twitter.com/bastion_social

https://www.youtube.com/channel/UCL_JuyGe0UFzkREWcCeel0w 

jueves, 15 de junio de 2017

martes, 13 de junio de 2017

Islamic Dissent: An Interview with Janaza


“The government always check the CDs, and if they got me they would kill me.” It’s an extreme statement, but then Janaza, lead vocalist of black metal band Seeds Of Iblis, is in an extreme position. To say her situation is delicate would be an understatement, since Seeds Of Iblis’ lyrics are heavily anti-Islamic in content. For a female vocalist based in Iraq, things could hardly be more risky.

It took a few months to track Janaza down properly. Every person who she discusses her music with has to be able to guarantee their support. In order to operate in the underground of Iraq, explicit trust is necessary in her peer group. Janaza started listening to black metal back in 1998 with innovators such as Marduk and Mayhem taking the majority of her time, but since then her circle of friends has only widened minutely. Now, some fourteen years later, those she knows in Iraq who share her interests hardly reach double figures: “we are one group, two girls and eight guys, we share the same musical and thinking passion”. This would make most of us concerned for what her immediate family think of her pursuits, but she tells me candidly, “I lost my parents in the war”. Her musical peers now seem to form the bulk of her brotherhood.

‘Janaza’ is Arabic for ‘funeral’, a pseudonym which the vocalist has adopted for years. The word is a respectful term not just for the funeral ceremony though, but for the cadaver itself. Death is not only a heavy theme in Janaza’s lyrics, but a cold reality. If the authorities were ever to discover her true identity or her whereabouts, she admits she would do whatever’s necessary: “I will kill myself” is her frank reaction to the hypothesis.


Janaza first started playing music in the now defunct heavy/thrash metal project Desertor. The band came to an end in 2008, a tragic year in her family, but it was also the year that things started to make a creative leap forward in her life. “I’ve been always anti-Islamic, but my work [in] anti-Islamic black metal [started] in 2008 when I moved on with my life without my parents and when I had some help from my old heavy metal band”. After the tragedy of losing her parents in an explosion, her musical output became blacker and more vitriolic in tone. “After I lost my parents I knew some good friends, and they introduced me [to] black metal music in a very expressive way, so we did that and we express all of our emotions and hatred in it”.

By 2010 Janaza had abandoned thrash altogether and released her first demo EP “Burning Quran Ceremony” on the Columbian label Black Metal Rituals, taking care of all the instrumentation herself. Predictably the lyrics were hatred-fuelled, spiteful attacks on Islam, a religion which she constantly refers to as spouting “stupidity” and “lies”:

Arise… and fall… with fake… history
Rage… the wars… will start… soon
Scream… the truth… of gods… and fables
Remove… the thoughts… of religions… and lies

I shall peel your god!
With a middle finger in his eyes!
I shall fuck his mind!
And burn the Mosques of Islam!

Janaza certainly pulls no punches. If anything her dislike of Islam only seems to have intensified over time. “Burning Quran Ceremony” is replete with examples of her acidic dislike of Iraq, with burning mosques, the Holy Book and chants of “Islamic lies” being the staple of the lyrics. Soon it was time for things to expand, and merely a year later she had formed Seeds Of Iblis with Epona, one of her closest friends from Desertor, drummer Younes and guitarist Yousef, who also runs the Saudi Arabian black metal project Tadness [تدنيس]. Seeds Of Iblis set straight to work and in no time had released their first EP, “Jihad Against Islam” through the French label Legion of Death in 2011. I notice the impressive photos of the physical edition and wonder how the hell she managed to get them pressed or imported to Baghdad, to which she replies, “the label made the CDs and sold them around the world, but for me I can’t get my copies because it’s too hard… the borders won’t let them get inside”. Of course, she hasn’t even seen a copy of her own record.

All this underground networking doesn’t mean that Seeds Of Iblis hide their light [or darkness] under a bushel though. The band do play the occasional live gig, but of course, entry is exclusive. Up till this point I didn’t even know there was an Iraqi metal underground, but Janaza assures me that lashings of corpse paint guarantee her idenity isn’t exposed. According to her, Iraq is no less strict than Iran when it comes to dealing with the heterodox, or as she puts it, “the same shit is everywhere here”. I mention that it’s nigh on impossible to get unbiased news coverage of the Middle Eastern situation in the West and ask what it’s actually like in Iraq at the moment: how much have things really improved since the toppling of Saddam? Her reply is much as I expected – “everything here is fucked up, no safety and no money, and we always look at [the] West as the people [who] want our oil and people [who] always like to capture our land.” I posit, with total neutrality, if there’s a feeling of dislike to each country in the West: “for me I am in love with Westerners because I think they love freedom of thinking and living, but for Iraqi people, they dislike and mistrust the Westerners.” Once again, Janaza shows herself as being in the independent, strong-thinking minority.


Seeds Of Iblis "Jihad Against Islam" vinyl
So what now for these ambassadors of Middle-Eastern resistance? It’s still very early days, but at the time of writing, Janaza has just completed vocals for Seeds Of Iblis’ second EP, “Anti Quran Ritual”. She’s been trying to secure a label deal but doing so seems difficult, for as she says, “no-one seems to be interested in it because it’s from Iraq”.

I’m sure it won’t be long until somebody picks it up though. What’s most important – and most lacking – in the underground is a sense of genuineness. Whether you agree or disagree with the anti-political and irreligious message that Seeds Of Iblis are putting across, as a listener you could hardly ask for a project born from greater sincerity. The bile in their sound is irrefutable, their motivation unignorable. As black metal becomes ever more an affectation, Seeds Of Iblis represent the true underground in a country which would damn them – and greater – if they were discovered. The inner voice of dark music is anger and repression, and no-one holds the right to these more than the Anti-Islamic Legion. As long as they can continue their legacy of secrecy, this has the potential to be one of the most interesting projects black metal has seen for quite some time.

Interview by Lysander. From:
https://heathenharvest.org/2012/02/26/islamic-dissent-an-interview-with-janaza/

domingo, 11 de junio de 2017

La Historia de los Tercios Españoles en 5 minutos


Un resumen de la historia de los Tercios Españoles en 5 minutos. Un resumen que va desde los primeros Tercios Viejos que combatieron en Italia, hasta el fin de los Tercios de Flandes.

sábado, 10 de junio de 2017

Ciudadano Cake: Desmontando a Podemos


Ciudadano Cake analiza al nuevo líder de la izquierda, el "libertador" español: Pablo Iglesias. ¿Qué hay detrás del joven profesor de la Universidad Complutense de Madrid? ¿Qué pasaría si llegase al poder? ¿Es aplicable su programa?

Hablamos con economistas como Juan Ramón Rallo que nos explican la inviabilidad de su programa electoral y con sociólogos como Narciso Michavila que analizan la situación actual general del país.

Asistimos a la asamblea de Podemos para hablar con Iglesias, con su número dos Juan Carlos Monedero, con Iñigo Errejón, jefe de campaña del partido e incluso nos reencontramos con el vicedecano de estudiantes de la facultad de Ciencias Políticas de la Universidad Complutense que pide disculpas por su falta de tacto ante Telemadrid.

Además, entrevistamos a ex alumnos del joven profesor que nos cuentan su experiencia en las aulas, de forma anónima por temor a represalias de grupos estudiantiles extremistas como Contrapoder.

viernes, 9 de junio de 2017

Reflexiones para los separatistas catalanes - Cómo entender lo que pasa en Cataluña


¿Os imagináis que un amigo os explica qué pasa en Cataluña tomando un café? Sin tapujos, claramente. Pues este es vuestro libro. Una forma clara y contundente de toda esta locura llamada separatismo. Espero lo disfrutéis.

jueves, 8 de junio de 2017

Fatria, activismo patriota desde Toledo

Presentación de Fatria:

En una época en la que la dicotomía izquierda-derecha ha quedado caduca, ciudadanos toledanos han decidido dar el paso y construir una alternativa identitaria en la capital imperial. 
Con el nombre de FRATRÍA nace una asociación que tiene como objetivos primordiales la lucha por la justicia social, la defensa de las tradiciones y la prestación de asistencia a aquellos españoles que encontrándose en situación de extrema necesidad se topan con unas instituciones que les dan la espalda.
FRATRÍA, tu espacio inconformista en Toledo.

Nos encontramos en Avenida de la Reconquista n°4, planta baja local 7

Facebook de Fatria:
https://www.facebook.com/fratriatoledo/
Twitter de Fatria:
https://twitter.com/fratria_toledo?lang=es

martes, 6 de junio de 2017

Ante el último atentado yihadista


¿Terminaremos por considerar el terrorismo yihadista en su verdadera y única dimensión? ¿Será capaz Europa de iniciar un debate sobre lo que supone convivir con una superstición que recompensa con el “paraíso” a quien muere en la yihad y al que considera que “yihad” es asesinar a inocentes? Estas reflexiones nos dan algunas claves del problema:

1) ¿Por qué se ha producido? Porque los creyentes en el Islam sufren la peor de todas las estafas a la esperanza: la propuesta de que “morir en la yihad” da acceso a un paraíso sensualista. Obviamente, un príncipe saudí no se inmolará en la yihad: tiene todo lo que Alá le pueda dar, no necesita morirse para llegar al “paraíso”. En cambio, un musulmán que malvive tirado en Palestina, en Kandahar o en los arrabales de cualquier ciudad europea, la única forma que tiene de acceder a los “siete castillos de jade, cada uno con siete harenes y cada harén con 77 huríes, manteniéndose eternamente en los 33 años y en estado de erección permanente” (tal como garantizan los ulemas del islam), es morir en la yihad. Luego, claro está, nadie vuelve presentando una protesta al sponsor por publicidad de un producto que crea expectativas imposibles de satisfacer…

2) ¿Por qué no dejarán de producirse atentados yihadistas en Europa? Porque el 80% de musulmanes que viven en Europa viven de los presupuestos públicos (es decir, subvencionados), que con suficientes como para garantizar la supervivencia sin grandes esfuerzos, como para tener los servicios básicos cubiertos, pero no cubren las expectativas de lujo que muestran los escaparates europeos. Esto genera en los islamistas un estado de frustración que les hace tomar la “directa”, evitar lo problemático del pequeño menudeo de droga y de la delincuencia de baja cota, pequeñas estancias en cárcel (que registran habitualmente los yihadistas europeos), y “tenerlo todo” muriendo en la yihad. A fin de cuentas, esa eventualidad supone solamente pasar miedo cinco minutos y renacer como privilegiado en el paraíso de Alá.

3) ¿Qué puede hacerse ante los yihadistas? Ser claros: decirles claramente, que el hecho de que un texto sagrado prometa algo, no quiere decir que sea una realidad tangible. Habitualmente, las religiones –especialmente la islámica– son un conjunto de normas para regular una sociedad mediante una sanción indiscutible (divina). Pero no implica que lo prometido sea algo real; dicho de otra manera: el “paraíso de Alá” es un mito tranquilizador para los fieles que creen en el islam, les ofrece una garantía de que sus sueños serán satisfechos en el más allá… dado que nadie vuelve para contarlo, la promesa se mantiene de generación en generación. Y, una de dos: o se satisfacen todos los sueños de todos los musulmanes y se crea un sistema de subsidios y subvenciones que haga de todos ellos, verdaderos “príncipes saudíes”, o bien se les es claro y terminante: el “paraíso de Alá” es una superchería. Una estafa a la esperanza. Algo que ni existe, ni puede existir.

4) ¿Qué es y que no es la yihad? Algunos tratadistas islámicos del siglo XIX han considerado que la “guerra santa” es una guerra contra el “enemigo interior” que cada ser humano tiene dentro de sí: todo lo que en la naturaleza humana es bajo, egoísta, apegado a la materia, eso es el “enemigo interior” y para ello el Corán habla de la “gran guerra santa”. La otra, la “pequeña guerra santa” es la que el fiel islamista mantiene contra el “enemigo exterior”, el “infiel” o el “idólatra”… Podemos discutir sobre este planteamiento filosófico-teológico, pero no podemos olvidar que los que hoy asesinan y mueren en los atentados del terrorismo yihadista, no son ni teólogos, ni filósofos, sino simples delincuentes que están hartos de pasar por cárceles y de no poder acceder a los escaparates de consumo, mediante su trabajo. Pensar que la “guerra santa” es asesinar gente que asiste a una discoteca, que pasea por la calle, que se encuentra esperando el avión en un aeropuerto o, simplemente, que viaja en un autobús en Palestina, es miserable, ignorante y zafio: a eso, aquí y ahora, se le llama “terrorismo” y tiene tanto que ver con la religión como un huevo con una castaña.

5) ¿Qué hacemos con el islam? El islam no es una religión europea. Es el producto de una sociedad primitiva y atrasada a la que el gran legislador que fue Mahoma, intentó dar forma mediante un nuevo mito religioso. El islam es hoy la única religión que admite y tolera la violencia como forma para expandirse fuera de su marco natural (Oriente Medo). Por tanto, las regulaciones religiosas de las legislaciones occidentales, no valen para el Islam en tanto que no es una religión como otras. Predicar la “guerra santa” como “pilar del islam”, sin especificar la diferencia entre “pequeña” y “gran guerra santa”, es instigar al asesinato y al terrorismo. Y Europa debe prevenirse ante supersticiones que pueden degenerar en criminalidad terrorista y “atajo” para lograr llegar a un paraíso sensualista. Todo lo que no sea enunciar ese “paraíso” como estafa a la esperanza pura y simple e impedir su difusión entre individuos de mentalidad primitiva y simple, supone dejar la posibilidad de que el fenómeno vaya extendiéndose cada vez a mayor velocidad. Se imponen, por tanto, restricciones a la predicación de “cierto islam” en Europa, que debe tener como complemento una declaración jurada, so pena de expulsión  cualquier país de confesión islámica, en la que los fieles islámicos residentes en Europa reconozcan explícitamente que la promesa de un “paraíso sensual” prometido a los que mueren en la guerra santa es una imagen literaria.

Escrito por Ernesto Milá. Extraído de InfoKrisis:
http://infokrisis.blogia.com/2017/052401-ante-el-ultimo-atentado-yihadista.php

domingo, 4 de junio de 2017

Run, Hide, ... Tell or Fight?


Or


What do you think?

El otro bus de Podemos


Pues sí, el PP no sólo se merece un bus sino estar gran parte del partido fuera de la vida política y con una condena de muchos años. Pero Podemos tampoco va a ser la salvación que muchos esperan, y más pronto que tarde ya ha hecho méritos para su propio bus. 

Y es que no hay ni un sólo partido con representación en el Congreso que no merezca un bus...

sábado, 3 de junio de 2017

Plan de renaturalización del río Manzares, un acierto de Carmena

Pues sí, este blog no va a negar lo innegable y las cosas bien hechas, vengan de donde vengan, de ahí esta entrada. 

Por si no sabes qué proceso se está llevando, muy acertadamente, en el transcurso del río Manzanares a su paso por la capital, aquí puedes verlo. Todo un ejemplo de respeto a lo más sagrado: la naturaleza. 

Al Cesar lo que es del Cesar y a los Dioses lo que es de los Dioses...

- Ideas de Fuerza -

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Aquí tienes el Dossier de la renaturalización del río Manzanares:

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La nueva fauna del río Manzanares a su paso por Madrid


De izquierda a derecha y de arriba abajo: ejemplares avistados en Madrid de cormorán grande, garza real, gaviota reidora, agachadiza, ánade real macho y gallineta - Ecologistas en Acción.

La fauna de Madrid ha inspirado novelas, películas y canciones de todo pelaje. Habitantes de la colmena, mujeres al borde un ataque de nervios y chicas de ayer, toda esa fauna urbana. Sin embargo, en los últimos meses la que de verdad es protagonista en la ciudad es la fauna en el estricto sentido de la palabra. Garcetas, cormoranes, tortugas, martinetes y barbos. Entre otros muchos. Todo un espectáculo animal que está volviendo a la ciudad gracias al proceso de renaturalización del río, que comenzó en mayo del pasado año.

La primera consecuencia de la libre circulación del agua y de la apertura de las esclusas, que mantenían canalizado el Manzanares desde mediados del siglo XX, fue que bajara el nivel del agua y que aparecieran isletas y prominente vegetación. De inmediato, las aves que pueblan el río curso arriba y abajo fueron asomando el pico en la ciudad, y cada día son más abundantes y variadas.

«Lo más llamativo a primera vista es que hay muchas más aves en todo el curso del río a su paso por Madrid», explica Santiago Martín Barajas, de la asociación Ecologistas en Acción. «Desde el Puente de los Franceses hasta pasada la M-40 se han multiplicado. Ahora estamos esperando ver si algunas especies crían en primavera», añade.

Entre la nueva fauna del Manzanares en la capital destaca la presencia de varios tipos de garzas, que antes eran muy difíciles de encontrar en la ciudad. Estas aves gustan de andar por la ribera e ir pescando de ese modo, lo cual antes era imposible con el agua canalizada entre las presas; dada su abundancia y la facilidad que tienen ahora para alimentarse, se dan las condiciones adecuadas para que esta primavera aniden en la ciudad.


El río Manzanares, entre el Puente de Segovia y el Puente de San Isidro. OLMO CALVO

También hay mucho ánade real, un pato autóctono que está presente todo el año y que está criando en las islas que se han creado en el río. A lo largo de todo el año pueden encontrarse igualmente la gallineta y la garceta común, cuyo número de ejemplares no deja de aumentar, explica Martín Barajas. Lo mismo sucede con la garza real, más grande de tamaño. Es habitual ver bandadas de esta ave durmiendo en los cedros más altos del Campo del Moro para bajar por las mañanas a pescar, a la altura del Puente del Rey y del Puente de Segovia. Así lo hace igualmente el cormorán grande, cuya colonia está creciendo rápidamente, aunque sólo puede verse ahora en invierno, que es lo mismo que sucede con las gaviotas, que pueden encontrarse de tres tipos:reidora, patiamarilla y sombría.

La cigüeña blanca se encuentra habitualmente, como sucede con la agachadiza común ahora en invierno. Hay pájaros más pequeños durante todo el año, como el ruiseñor bastardo y la lavandera blanca, pero el más llamativo, según el activista de Ecologistas enAcción, es el martín pescador, muy difícil de fotografiar por la velocidad de su vuelo.

También es complicado avistar martinetes: hay numerosos ejemplares, pero tienen por costumbre volar por la noche. Además, es muy pronto para avistarlos ya que llegarán en primavera, para quedarse durante el verano. Más sorpresa ha provocado a los expertos descubrir abubillas, una especie que no es propia de ríos.

Las que aún no han sido vistas, aunque se espera su llegada, son la focha común y la garcilla bueyera.

«Este aumento tan grande y rápido de aves se explica por la explosión de peces que ha habido, sobre todo peces pequeños que han criado», explica Martín Barajas. «Antes había carpas enormes que criaban aguas arriba y abajo, pero ahora se están viendo también a menudo barbos, y además ejemplares de alburno, pez gato, gambusia y algún otro que aún no hemos logrado identificar», añade. Éstos últimos son peces introducidos, un detalle relevante ya que desde el Museo Nacional de Ciencias Naturales, el experto José Ignacio Doadrio ha sugerido al Área de Medio Ambiente usar la depuradora de Viveros de la Villa para reproducir in situ las especies autóctonas del Manzanares para ir reforzando así estas poblaciones autóctonas.

Mientras peces y aves se reproducen en el Manzanares sin descanso desde hace medio año, han proliferado reptiles que ya se podían encontrar antes ocasionalmente pero que han pasado a ser comunes. Hablamos de galápagos leprosos, que son autóctonos, y galápagos de Florida, que es una especie invasora, además de culebras de agua, que no suponen un peligro para la población.

El plan de renaturalización del Ayuntamiento comenzó en mayo con la apertura de las esclusas y continuará durante el primer semestre de 2017 con la actuación en el tramo comprendido entre el Puente de los Franceses y el Puente del Rey, como avanzó EL MUNDO en septiembre. Esta obra consistirá en quitar la parte superior de la escollera e instalar un emparrillado de maderas preparado para plantar vegetación.

Escrito por Pablo Gil, extraído de El Mundo:
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